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Moon River est une chanson écrite par Johnny Mercer et composée par Henry Mancini et originalement interprétée par Audrey Hepburn dans le film de Blake Edwards, Breakfast at Tiffany’s (Diamants sur canapé pour le titre français) sorti en 1961. La chanson nous parle de Moon River, une rivière large de près de deux kilomètres qui coule près de Savannah, en Géorgie. Elle reflète sans doute la nostalgie de son auteur, Johnny Mercer, pour le Sud, où il est né et a grandi. L’œuvre a notamment été récompensée par l’Oscar de la meilleure chanson originale en 1962. (crédit Wikipedia)
Moon river, wider than a mile
I’m crossing you in style some day
Oh, dream maker, you heart breaker
Wherever you’re goin’, i’m goin’ your way
Two drifters, off to see the world
There’s such a lot of world to see
We’re after the same rainbow’s end, waitin’ ’round the bend
My huckleberry friend, moon river, and me
(moon river, wider than a mile)
(i’m crossin’ you in style some day)
Oh, dream maker, you heart breaker
Wherever you’re goin’, i’m goin’ your way
Two drifters, off to see the world
There’s such a lot of world to see
We’re after that same rainbow’s end, waitin’ ’round the bend
My huckleberry friend, moon river, and me
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Bonjour, Moon River est aussi la chanson préférée de Jim Harrison. Pendant ses chasses aux oiseaux, il fredonne en permanence » Oh, dream maker, you heart breaker » ce qui crispe son ami de chasse et loupe son coup de fusil….
Raconté par Gérard Oberlé dans « Ramages et plumages »
Cordialement,
Merci pour cette précision. Cela indique peut-être que Jim Harrison est un protecteur des oiseaux infiltré dans les rangs des chasseurs pour saboter leur chasse…
J’ai trouvé une citation de Morrison qui colle très bien à cette chanson et dont le titre de l’ouvrage dont elle est tirée ramène à votre blog :
» …je me promène dans les champs déserts, les canyons, les bois, mais de préférence près d’un torrent ou d’une rivière, car depuis l’enfance j’aime leur bruit. L’eau vive est à jamais au temps présent, un état que nous évitons assez douloureusement. » (En marge,mémoires – Mai 2003)
Bien à vous, Enki
J’adore cette chanson et cette grande artiste !